Pour être sûrs, demandons à ce sympathique commerçant ce qu'il en pense.

Ecrasé sous le joug capitaliste

Libéré des chaînes du patronat néolibéral dans un monde plus juste
Eh bien c'est concluant je crois : avant, ce pauvre homme s'usait la santé dans sa petite boutique livrée à la concurrence. Aujourd'hui, ses affaires vont tellement bien qu'il réussit chaque jour à vendre tout son stock, et qu'il lui reste même du temps pour aller faire sa gym, comme en témoigne la sveltesse retrouvée de ses vingt ans.
Merci, le socialisme !