Festival de nullésie :
Jadis, le grand Voltaire a eu son Jean Fréron,
Mais moi, pauvre rhéteur, je n'ai qu'Henri Masson.
Il m'envoie par volées tous ses pauvres sicaires
Sitôt que je les vois, paf, je les flanque à terre,
De rage, n'y tenant plus, le Masson se dédouble,
Mais son IP trahit cet homme à l'esprit trouble.
Ça craque, et ça bascule, ainsi chute l'idole,
Pleurent les éophones, sur mon blog, on rigole.
Haiku
Riton le pluriel
Perdu dans ses manigances
Trébuche, ridicule