" Non, nous en avons assez, ce qu'il nous faut, ce sont des chaînes plus lourdes", répondait l'autre
" Ces maillons sont trop lisses, comment se fait-il que dans cette maison, on n'ai pas encore de chaînes barbelées ?" s'interrogeait le troisième.
Et sous les yeux de leurs maîtres médusés, les esclaves en vinrent aux mains.