Bon, j'ai plus envie de bosser, ça j'ai l'habitude, mais là, j'ai même plus envie de glander. J'ai plus envie du tout, de rien.
Les yeux dans le vide, j'attends que les aiguilles de ma montre tournent et qu'il soit l'heure d'aller bouffer. Sans impatience excessive, j'ai pas trop envie de bouffer non plus.
Et je m'en fous.
Mais je ne m'en contrefous pas avec la dernière énergie. Je m'en fous juste vaguement.
J'approche maintenant le sublime, l'absolu, l'essence du mou.