Vampilla + Mcclane + VMO au Supersonic, Paris, 15 août 2019
Il se trouvait donc que ce jour là, j'étais en congé et un peu désœuvré, alors je suis allé voir sur Sueur de Metal des fois qu'il y aurait un truc sympa à voir. Vampillia... C'est quoi ? C'est japonais, OK, donc c'est wtf, ça me va. C'est sûrement au fin-fond d'une banlieue à un train par heure... Ah non, c'est à République. Et ça coûte combien ? Ça coûte gratuit ! Allez, zou !
Le Supersonic est une toute petite salle avec un pilier au milieu et un balcon. La scène n'est pas forcément de taille à accueillir Manowar, à peine de quoi accueillir un pique-nique. Néanmoins, si c'est pas Bercy, c'est un endroit agréable.
Je ne connais évidemment rien des groupes en question, je n'ai pas voulu me spoiler. Du coup, je suis quand même un peu étonné quand Mcclane arrive sur scène. C'est un mec tout seul avec une cagoule sur la tête. Il s'approche d'une table où il y a une petite table de mixage et un macbook. Oh god, is it be ? Ah ! C'est de l'electro ! Mais genre, c'est vraiment de l'electro. Je comprends alors pourquoi la moitié de l'audience a une drôle de tête... Bon, après une introduction boufta-boufta, ça devient plus dark et plus écoutable à une oreille de métalleux, au final, le spritz aidant, c'est agréable. Mais bon ils pourraient prévenir quoi.
C'est au tour de VMO, alias Violent Magic Orchestra, un groupe osakien qui rassure en sortant une guitare électrique. Il y a toujours de l'electro nonobstant, c'est un mélange de black et de musique synthétique, mené par une petite growleuse tatouée et torturée qui ne ménage pas ses effets (mais dès le concert terminé, elle passe en mode kawai Kobato Miku), tandis que des animations passent sur un écran que je ne peux malheureusement pas voir vu qu'il est au-dessus de ma tête. Ça finit par un peu de bordel avec la fille du synthé dans la foule. Bref, c'est japonais.
Vampilia nous ramène encore un peu plus en territoire métalleux, bien que la présence d'un gros synthé et d'une violoniste ne soit pas de nature à rassure. Ils sont six sur scène. Normalement, le groupe est beaucoup plus nombreux que ça, mais l'étroitesse des lieux ne permet pas beaucoup plus. Ça commence par une assez longue introduction violon/synthé évoquant irrésistiblement la BO des films de Miyazaki, avant de basculer dans le sombre et growleux. Le chanteur est à peu près inaudible, hélas, à telle enseigne qu'il retourne son haut-parleur de retour vers le public, par contre la batterie casse bien les oreilles. Le chanteur ne ménage pas ses effets, allant jusqu'à monter au balcon, ce qui provoque toute sorte de mouvements de foule dans la tradition du metal.
Bref, je voulais voir du wtf, j'ai vu du wtf.
Des photostres

Mcclane aux manettes

Bouffta bouffta

VMO est dans la place

VMO en cours de set

ACIIIIIIIDE !

La chanteuse donne de sa petite personne

Elle est pas mimi ?

Ambiance kokoro avec le début de Vampillia

Le vocaliste (qu'on a déjà vu grimé dans VMO précédemment)

En cours de concert

La violoneuse avait aussi une partie chantée

Un étrange mélange de publics

Chanteur au balcon, Pâques au tison
Le Supersonic est une toute petite salle avec un pilier au milieu et un balcon. La scène n'est pas forcément de taille à accueillir Manowar, à peine de quoi accueillir un pique-nique. Néanmoins, si c'est pas Bercy, c'est un endroit agréable.
Je ne connais évidemment rien des groupes en question, je n'ai pas voulu me spoiler. Du coup, je suis quand même un peu étonné quand Mcclane arrive sur scène. C'est un mec tout seul avec une cagoule sur la tête. Il s'approche d'une table où il y a une petite table de mixage et un macbook. Oh god, is it be ? Ah ! C'est de l'electro ! Mais genre, c'est vraiment de l'electro. Je comprends alors pourquoi la moitié de l'audience a une drôle de tête... Bon, après une introduction boufta-boufta, ça devient plus dark et plus écoutable à une oreille de métalleux, au final, le spritz aidant, c'est agréable. Mais bon ils pourraient prévenir quoi.
C'est au tour de VMO, alias Violent Magic Orchestra, un groupe osakien qui rassure en sortant une guitare électrique. Il y a toujours de l'electro nonobstant, c'est un mélange de black et de musique synthétique, mené par une petite growleuse tatouée et torturée qui ne ménage pas ses effets (mais dès le concert terminé, elle passe en mode kawai Kobato Miku), tandis que des animations passent sur un écran que je ne peux malheureusement pas voir vu qu'il est au-dessus de ma tête. Ça finit par un peu de bordel avec la fille du synthé dans la foule. Bref, c'est japonais.
Vampilia nous ramène encore un peu plus en territoire métalleux, bien que la présence d'un gros synthé et d'une violoniste ne soit pas de nature à rassure. Ils sont six sur scène. Normalement, le groupe est beaucoup plus nombreux que ça, mais l'étroitesse des lieux ne permet pas beaucoup plus. Ça commence par une assez longue introduction violon/synthé évoquant irrésistiblement la BO des films de Miyazaki, avant de basculer dans le sombre et growleux. Le chanteur est à peu près inaudible, hélas, à telle enseigne qu'il retourne son haut-parleur de retour vers le public, par contre la batterie casse bien les oreilles. Le chanteur ne ménage pas ses effets, allant jusqu'à monter au balcon, ce qui provoque toute sorte de mouvements de foule dans la tradition du metal.
Bref, je voulais voir du wtf, j'ai vu du wtf.

Mcclane aux manettes

Bouffta bouffta

VMO est dans la place

VMO en cours de set

ACIIIIIIIDE !

La chanteuse donne de sa petite personne

Elle est pas mimi ?

Ambiance kokoro avec le début de Vampillia

Le vocaliste (qu'on a déjà vu grimé dans VMO précédemment)

En cours de concert

La violoneuse avait aussi une partie chantée

Un étrange mélange de publics

Chanteur au balcon, Pâques au tison