Eh bien oui, comme tout être normalement constitué, l'idée me révulse. Que ces sornettes aient pu germer dans l'esprit malade de notre classe politico-merdiatique ne me surprend pas, car plus rien ne m'étonne de la part de ces poussah décadents et consanguins. Mais qu'une partie non négligeable de l'opinion publique leur emboîte - sans mauvais jeu de mot - le pas me stupéfie et me consterne.
Eh bien je vous le dis tout net, si on me force à épouser un homosexuel, je me casse de ce pays ! Je ne mange pas de ce pain là, moi, messieurs les sodomites ! Tenez-vous le pour dit, j'entends bien protéger avec vigueur ma vertu rectale jusqu'à l'âge de ma première coloscopie, et nulle membrure interlope ne franchira mes lèvres sans encourir aussitôt une cruelle morsure. Et passe encore des célibataires, mais a-t-on pensé aux gens déjà mariés ? Faudra-t-il qu'ils divorcent de leur conjoint pour se conformer à la nouvelle norme sociale en épousant qui son pédé, qui sa gouine ? Ou bien l'un des époux devra-t-il accepter de changer de sexe pour continuer à convoler avec l'élu(e) de son cœur au cours de coïts nécessairement troublés par la présence importune d'attributs improbables ? A-t-on pensé à l'encombrement des tribunaux de divorce, et à celui des blocs opératoires ? Vraiment, l'incapacité de nos hommes politiques à voir plus loin que leurs promesses de campagne est sidérante. Et comme si ça ne suffisait pas, voilà qu'on parle déjà de l'adoption pour les invertis ! Mais je vous le demande, enfin, soyons raisonnables, comment voulez-vous savoir si un enfant de cinq ans est homosexuel ?
Vraiment, ce pays va à vélo.

Non !


OMG OMG OMG, se pourrait-on qu'on ait enfin trouvé
des traces de cailloux sur Mars ?
Quelle excitation !