Oui parce que jusque là, les splendides photos de chevelus transpirants qui ornaient mes compte-rendus de concerts de métaux sortaient principalement d'un Canon S110 acheté à la FNAC mi-2014. Ce bel objet avait de nombreuses qualités, dont la plus éminente était la compacité, du coup je l'emmenais partout, et je pouvais le sneaker dans mon zonblou pour entrer au Trabendo ou au Glaz'art. Du coup, je pouvais sans crainte profiter du concert, tout en sautillant tel un joyeux cabri dans le moshpit (ce qui est peu pratique avec un D800), et quand Dark Agressör (le frontman de Destruktated Walrüs) faisait quelque chose de cool, je sortais mon outil et je lui tirais le portrait.
Las, la compacité du truc avait un revers : je l'ai paumé.
Bref, au bout de deux mois à chercher partout, j'ai fini par en faire mon deuil et par le remplacer par la version supérieure, le Canon G7X, un spécialiste de la basse lumière, avec un capteur 1" et un zoom équivalent 24-100mm ouvrant à 1.8/2.8.
Voici quelques andouilleries shootées le 1e janvier. Toutes ces photos sont des jpg sortis tout crus de l'appareil, redimensionnées à 25%, sans retouche, recadrage ou correction des niveaux.

Mon habituelle victime, la pendule de la gare
de l'est, zoom et ouverture au maximum

Un bokeh pas dégueu pour un compact

Essais en basse lumière dans l'église de la Madeleine.

A 800 iso, c'est propre.

A 1600, les noirs restent propres.

Pour les photos de vitrine, le S110 était
excellent, mais le G7X n'est pas en reste.

Ici, essai du mode "format carré" (pour instagram)

En extérieur, des gens pris sur le vif

Faune typique de la région parisienne

Animation sur les Champs Elysées

A travers une vitrine

Du street art

Du street rien

On l'a toute faite, celle-là...

Et voilà.